Dès 1942

9 janvier 1942 : Jean Cornuau ouvre à Paris la première « maison du prisonnier »

26 mai 1942 : Maurice Pinot, Commissaire Général aux P.G., officialise l’existence des C.E.A. locaux (Centres d’Entraide). Avec son équipe, il réussit le tour de force de garder aux C.E.A. leur indépendance juridique. Les C.E.A. n’ont jamais dépendu que des prisonniers rapatriés et évadés qui les constituaient.

15 août 1942 : A Montmaur, chez A. Mauduit, importante réunion clandestine de plusieurs fondateurs du Rassemblement National des Prisonniers de Guerre (R.N.P.G.).

14 janvier 1943 : Maurice Pinot, en désaccord avec Laval, est révoqué et remplacé par André Masson, qui soutient la politique de la collaboration.

Mars 1943 : Le R.N.P.G. s’organise et se développe (Barrois, Benet, Mauduit, Mitterrand, Pinot).

Avril 1943 : Le Mouvement de Résistance des Prisonniers et Déportés s’organise (Bonnet, Dechartre, Lemoigne, Ulman). M.R.P.G.D.

10 octobre 1943 : Le réseau clandestin des C.E.A. devient la Fédération autonome des C.E.A. du R.N.P.G. (F.A.C.E.A. J. Védrine).

Octobre 1943 : Le Front National créé une 3ème organisation de résistance P.G., le Comité National des Prisonniers de Guerre (C.N.P.G. Robert Paumier et 1944 Pierre Bugeaud).

9 novembre 1943 : Le Comité Français pour la Libération Nationale (C.F.L.N.) crée à Alger un Commissariat aux Prisonniers, Déportés, Réfugiés (Henri Frenay).

15 novembre 1943 : F. Mitterrand part en mission à Londres et à Alger pour le R.N.P.G. Retour février 1944.

14 janvier 1944 : Masson quitte le Commissariat aux P.G., remplacé le 30 avril 1944 par Robert Moreau.

12 mars 1944 : Constitution du Mouvement de Résistance, le Mouvement National des Prisonniers de Guerre et Déportés (M.N.P.G.D.) par la fusion du R.N.P.G., du M.R.P.G.D. et du C.N.P.G. (Benet, Mitterrand, Dechartre, Paumier). Arrestations, déportations, constitution de « Maquis ».

Avril 1944 : Mission du M.N.P.G.D. à Alger (Benet, Dechartre).

19 août 1944 : Mitterrand est nommé par le C.F.L.N. Secrétaire Général aux Prisonniers, Déportés, Réfugiés, en attendant l’arrivée de Frenay.

25 août 1944 : Libération de Paris.

1er octobre 1944 : Frenay est nommé Ministre des P.D.R. (Prisonniers, Déportés, Réfugiés).

6 octobre 1944 : Assemblée du M.N.P.G.D. lequel, sorti de la clandestinité de la résistance, organise une conférence nationale. Il souhaite que ses adhérents anciens P.G. constituent avec les C.E.A. une Fédération P.G. tandis que les Déportés et les Travailleurs créeraient leurs propres fédérations. Le M.N.P.G.D. deviendrait un organisme de coordination. Président : Mitterrand. Délégués à l’Assemblée Nationale : Benet, Bugeaud, Dechartre, Gagnaire, et à son retour de déportation, Ulman.

5 novembre 1944 : Assemblée des C.E.A. Le Comité National provisoire formé en août 1944 organise un Congrès National des responsables des C.E.A. Il y a environ 11 000 C.E.A. locaux. Le Congrès vote le principe de fusion des C.E.A. et du M.N.P.G.D. qui constitueront ensemble la Fédération Nationale des Prisonniers de Guerre. Président : Devaux. Vice-Présidents : Cornuau, Desboeuf, Mitterrand, Pinot. Secrétaire Général : Védrine. Trésorier : Ariès. Conseillers : Amaré, Potié.

1945 – La naissance de la Fédération

1945 : Le Congrès constitutif de la Fédération Nationale des Prisonniers de Guerre s’est tenu à Paris dans le 9ème arrondissement  (19, rue Blanche, salle des Ingénieurs civils)  les 5, 6, 7 et 8 avril 1945.

La Fédération est née de la fusion des Centres d’Entraide (organisme social) et du Mouvement National des Prisonniers de Guerre et Déportés (mouvement de résistance).

Son but ? Servir ceux qui étaient encore dans les camps, aider les familles. Organiser le retour et réussir l’accueil.

Un journal du 6 avril 1945 annonce cette naissance, l’auteur de l’article, rapportant les paroles de Louis Devaux, écrit : « La Fédération devait admettre toutes les nuances, toutes les opinions, tout ce qui fait la diversité intellectuelle et morale d’un grand pays, mais qu’elle ne devait être dominée par aucune prépotence politique. Puissent en effet les prisonniers ne pas retomber dans cette erreur qui fut trop souvent celle des Associations d’Anciens Combattants d’après l’autre guerre devenues des instruments entre les partis ! Il s’agit moins d’intégrer ceux qui reviennent et ceux qui vont revenir que de les réintégrer dans la vie française ».

La Fédération était née, il s’agissait de la faire grandir, de lui donner une Charte, ce qui sera fait avec la « Charte du 8 août 1945 », d’établir un programme d’action, ce sera le rôle du premier Congrès tenu dans le parc des Expositions de la porte de Versailles en novembre 1945.

Un phénomène sociologique important venait de faire son apparition dans la vie de notre Pays.

1er juin 1945 : parution du premier journal de la Fédération des prisonniers de guerre : le PG.

La première bataille : la santé et l’honneur des Prisonniers

Dès les premiers jours il a fallu se préoccuper de la réinsertion des anciens P.G. dans « le monde inconnu qui les effraie et qu’ils ne comprennent plus ».  Ensuite défendre « notre honneur » de combattant car nous avions été accueillis à notre retour des camps avec les qualificatifs les plus divers, la guerre de 1939-1940 n’ayant eu rien de commun avec celle de 1914-1918.

Dès le retour, la question de la santé du Prisonnier de Guerre est préoccupante. L’objectif premier du prisonnier : rentrer chez lui, retrouver sa famille, sa femme, ses enfants, la maison. Apprendre à vivre dans le monde de 1946 si différent de celui de 1939.

Des malades, il y en avait, et beaucoup. Des médecins, anciens P.G. d’abord, puis d’autres non P.G. se sont alors concertés pour étudier la pathologie du prisonnier, mais aussi et surtout pour trouver le meilleur moyen de guérir ceux de nos camarades qui étaient atteints et leur permettre de conserver leur profession ou d’en trouver une autre.

30 décembre 1945 : Une ordonnance devait faciliter la réinsertion de nombreux P.G. pour laquelle Philippe Amaré devait déployer une très grande activité.

C’est alors que par l’intermédiaire de la Croix-Rouge, le château de Ponsonnas dans l’Isère devint maison de postcure mais surtout atelier d’horlogerie. Ils sont nombreux ceux qui purent se faire ainsi, à nouveau, une santé et une situation.

En 1946, les 14 – 15 – 16 et 17 novembre, se tient à Clermont-Ferrand le Congrès national qui va voir le véritable départ de la Fédération. Elle est maintenant en place, elle peut, elle doit travailler. Elle se dote d’un journal « Libres », dirigé par Moulin, ce journal du M.N.P.G.D. a disparu et a fait place à l’organe qui  sera l’organe officiel de la Fédération : Le P.G.

L’équipe mise en place à la porte de Versailles est complètement changée. Le Président Jean Bertin, éprouvé par sa déportation à Buchenwald, cède la place à Georges Lepeltier, rapatrié de 1945. Les secrétaires généraux, Jean Védrine et Philippe Amaré, sont remplacés par Joseph Perrin et Fernand Darchicourt. Nous achèterons l’immeuble du 46 rue Copernic. Il abritera les services de la Fédération. Alors commence la bataille pour l’obtention de la carte du combattant.

Les premières années de la vie fédérale

1947 : Tombola nationale au profit des sinistrés de la guerre 1939-1945. Nous collectons près de 40 millions de francs que nous répartissons aux départements les plus éprouvés.

1948 : Nous reconstruisons l’école d’Ammerschwihr, en Alsace, en témoignage de reconnaissance pour l’aide apportée par les habitants de ce village alsacien aux P.G. évadés. Nous prenons également une part importante dans la reconstruction de la Maison Forestière.

Parallèlement nous devions nous battre pour que, ayant obtenu la même carte que nos camarades de 14-18, la même retraite du combattant nous soit accordée. Elle nous fut servie effectivement puis supprimée. Les démarches multiples pour le rétablissement d’abord, l’égalité ensuite ont duré des années pour que satisfaction nous soit donnée.

1948 : voit la sortie du décret Mitterrand, permettant d’attribuer la carte à tous les P.G. ayant connu six mois de captivité et n’ayant pas démérité. Pourvoi de l’U.F.A.C. par l’intermédiaire du colonel Bourgoin. Conseil d’Etat, le décret est rapporté. Un nouveau ministre étant arrivé, nouveau décret (décret Bétolaud), beaucoup plus restrictif que le précédent.

Le 1er avril 1948 : la Fédération Nationale  des Prisonniers de Guerre est reconnue d’utilité publique.

3 septembre 1949, rassemblement grandiose de protestation à Paris, où 100 000 Anciens P.G. se retrouvent les mains nues devant les chars du Ministre de l’Intérieur. Le Ministre des Anciens Combattants est emporté par la manifestation, on ne le reverra plus, un nouveau arrive : M. Jacquinot. Un nouveau décret sortira alors et il nous sera plus favorable. Sous l’action des dirigeants fédéraux, il subira plusieurs retouches.

En 1953, le décret portant attribution du pécule sur la base de quatre cents francs par mois de captivité est signé. Le paiement se fera en trois tranches et celui de la troisième n’ira pas sans quelques difficultés et ne sera payé qu’en 1958.

Le remboursement des soldes aux officiers, sous-officiers de carrière, de même que le remboursement des marks de camp est un problème qui n’aura jamais été résolu entièrement.

Pendant les mêmes années, la Confédération Internationale des Anciens Prisonniers de Guerre (C.I.A.P.G.) regroupant à l’origine des P.G. d’Allemagne, d’Autriche, de Belgique, de France, d’Italie et de Yougoslavie devait se préoccuper de l’influence de la captivité sur l’organisme des captifs. Plusieurs conférences médicales internationales devaient se tenir à Bruxelles, Cologne, Paris pour aboutir à une véritable pathologie de l’ancien P.G. La principale constatation : vieillissement prématuré. Nous demandons la reconnaissance officielle de ce fait et comme conséquence la possibilité pour l’ancien P.G. de prendre sa retraite professionnelle plus tôt (5 ans de captivité correspondant à un abaissement de l’âge de 5 ans pour la retraite).

Là encore, il fallut des démarches multiples, des discussions sans fin, pour obtenir satisfaction. La loi du 30 juin 1973 reconnaît le bien-fondé de nos conclusions, et la possibilité pour un P.G. de prendre sa retraite à 60 ans au lieu de 65.

1954 : Nous ouvrons le Sanatorium des Pins à Lamotte-Beuvron (Loir-et-Cher) avec 150 lits.

1955-1957 : Construction d’une école à Dakar, pour témoigner, là aussi, notre reconnaissance et notre gratitude aux tirailleurs sénégalais venus à nos côtés, en 39-40, se battre pour la liberté.

1959 : Pour permettre aux tuberculeux stabilisés, ne pouvant reprendre leur métier, nous achetons le domaine des Rhuets (55 hectares) sur la commune de Vouzon (Loir-et-Cher) et nous y créons un centre de Rééducation professionnelle. Les ateliers ouverts sont : Electricité automobile – Câblage électronique – Carrelage – Comptabilité – Dessin du bâtiment. Les ateliers évolueront au fil des années. D’une capacité de 120 lits, ce centre sera ouvert à la mixité à partir de 1985. Le domaine des Rhuets sera transféré au COS officiellement le 11/02/2015.

1963 – Arrivée des C.A.T.M. dans la Fédération

1963 : C’est au congrès de Pau que les anciens d’AFN sont admis dans les rangs de la FNCPG. Ce mouvement est né de la base

1965 : Achat du château de Breteuil-sur-Noye, dans l’Oise, avec les fonds mis à notre disposition par nos Associations d’Afrique du Nord. Avec un parc de 12 hectares, ce château aménagé et baptisé « l’Oasis » est devenu une maison de santé et de convalescence de 80 lits. Etablissement mixte. Cet établissement sera transféré au Groupe Noble Age le 01/07/2008.

A partir de 1965 : Organisation des semaines franco-allemandes de la jeunesse.

1968 : Le 18 octobre est constituée la première commission nationale C.A.T.M.

1969 : Le 15 février les premiers diplômes de Reconnaissance de la Nation sont remis solennellement à des C.A.T.M.

1969-1971 : Nous construisons sur le domaine des Rhuets, un Institut Médico-Educatif pour les handicapés de 6 à 19 ans, dont la capacité est de 100 lits. Ce centre a été dédié à la mémoire de Joseph Perrin, ancien secrétaire général de la Fédération décédé en 1971. Cet établissement sera transféré à l’APAJH le 01/07/2009.

1970 : Dès 1970, la Fédération Nationale avec le concours de son Association du Pas-de-Calais sollicite au plus haut de l’Etat, la translation du corps d’un soldat français inconnu mort pour la France en Afrique du Nord pour rejoindre à la nécropole nationale de Notre-Dame de Lorette, les soldats inconnus des guerres précédentes.

1972-1973 : Nos camarades du Mali et du Sénégal étant victimes d’une sécheresse exceptionnelle, nous décidons de les aider et nous envoyons cent trois tonnes de maïs et dix tonnes de lait en poudre. En outre, nous fournissons les appareils de physique et chimie indispensables à la bonne marche du laboratoire de l’école et participons au creusement de plusieurs puits.

1974 : Le 9 décembre, la loi reconnaît aux C.A.T.M. la qualité de Combattant.

1974 : le Sanatorium des Pins devient Centre Médical de Cardio-Pneumologie. Deux départements bien distincts : la cardiologie et la pneumologie, ce centre est mixte. Cet établissement sera transféré au Groupe Noble Age le 29/04/2009.

1975 – Les Veuves d’Ancien Combattant dans la Fédération

1975 : Congrès de Toulon, les Veuves de P.G. et de C.A.T.M. sont reconnues par la Fédération Nationale.

Nous arriverons ainsi en 1977 au Congrès de Bordeaux pour apprendre de la bouche du ministre en place, J.-J. Beucler que TOUS les P.G. ayant connu trois mois de captivité en Allemagne pourraient obtenir la carte. Ainsi nous avions mis trente ans pour faire reconnaître que la captivité devait être considérée comme le prolongement du combat.

16 octobre 1977 : Le soldat inconnu d’Afrique du Nord est inhumé à Notre-Dame de Lorette. Après  une veillée funèbre au Monument aux Morts de la ville d’Arras, une cérémonie nationale se déroule, présidée par le Président de la République de l’époque M. Giscard d’Estaing en présence des hautes autorités civiles et militaires. Depuis, chaque année, le 16 octobre fait l’objet d’un pèlerinage.

1981 : C’est au congrès de Royan que la Fédération Nationale fait des Veuves d’ancien combattant des adhérentes à part entière, afin de les protéger et les défendre avec plus d’efficacité.

1982-1983-1984 : Par l’intermédiaire du Comité français contre la faim, nous continuons notre action de solidarité en direction du Niger et de la Haute-Volta. Nous participons au creusement de plusieurs puits (une vingtaine environ), au fonctionnement de Centres de formation de jeunes agriculteurs, au reboisement.

Mars 1982 : Admission au comité fédéral de deux veuves à titre consultatif.

Mars 1984 : Aide administrative aux Veuves d’Anciens Combattants accordée par circulaire ministérielle aux Directeurs des Services Départementaux de l’ONACVG.

1er décembre 1984 : 1ère assemblée générale des Veuves de PG et de CATM (61 associations départementales représentées).

1985 : Création d’un insigne de veuve.

1987 : Dépôt de 2 propositions de loi visant à attribuer aux Veuves d’Anciens Combattants la qualité de ressortissante de l’ONACVG.

14 novembre 1987 : Nouvelle composition de la Commission Nationale de Veuves : 1 titulaire, 1 suppléante par région.

16 mars 1988 : 1ère réunion de la Commission Nationale des Veuves dans sa nouvelle composition.

8 septembre 1990 : Forum des Veuves.

1991 : reconnaissance officielle de la présence des veuves dans les conseils départementaux de l’ONACVG.

1993 : Dépôt d’une proposition de loi tendant à accorder aux Veuves d’Anciens Combattants la réversion de la retraite du Combattant.

1995 : Pétition en faveur des Veuves d’Anciens Combattants pour la réversion de la retraite du Combattant.

1996 : Congrès national à Amiens, élection d’une veuve « Membre national ».

1997 : Congrès national à Saint-Malo, élection d’une Veuve au Bureau Fédéral.

1998 : Voix délibérative accordée aux Veuves siégeant aux Conseils d’administration de l’ONACVG et de ses services départementaux.

1999 : Audience accordée par le Secrétaire d’Etat à la Défense chargé des Anciens Combattants au Président et à une délégation de Veuves de la FNCPG-CATM.

1999 : Aboutissement d’une revendication majeure : la guerre d’Algérie est enfin considérée comme une guerre. Le 28 février 1999 une plaque portant la mention « guerre d’Algérie » est inaugurée sous l’Arc de Triomphe.

1999 : Opération Handicap Nord-Sud. L’opération a pour but de fournir aux handicapés du Maroc, de Mauritanie, du Sénégal, du Mali et de Côte d’Ivoire une centaine de fauteuils roulants, des prothèses ou encore du matériel scolaire. Le convoi est composé de sept véhicules transportant 24 personnes (dont sept handicapés).

2001 : première remise de carte de veuves.

2002 : Congrès national de Montpellier, élection d’une deuxième Veuve « Membre national ».

2002 : Le mémorial du quai Branly est inauguré le 5 décembre.

2002 : Opération humanitaire : Un Ancien Combattant, une mine en moins. Un chèque de 94 188.26 € est remis à Handicap International pour déminer la Casamance.

2005 : Une collecte de fonds est organisée pour offrir des bourses de 16 000 € à de jeunes chercheurs. 181 492 € sont remis à France-Alzheimer.

2005 : Assemblée générale statutaire à Nancy, première désignation par la voie régionale d’une veuve au Comité Fédéral.

2010 : Une collecte de fonds permet de remettre trois chiens guide d’aveugle à trois malvoyants.

2012 – Les Sympathisants dans la Fédération

2012 : Depuis le congrès national de 2012, la Fédération Nationale accueille dans ses rangs des sympathisants, personnes non ressortissantes de l’ONACVG mais qui partagent les valeurs de notre Fédération.

2016-2018 : Nous collectons des fonds pour l’hôpital Gustave Roussy.

2022-03-22 : Nouveau Siège Fédéral : 6, rue de l’Amiral Courbet 75116 PARIS